En Ontario, sept parents francophones sur dix choisissent l’école catholique de langue française pour leur enfant. Ils demandent le meilleur milieu scolaire pour que leur enfant s’épanouisse pleinement sur les plans spirituel, culturel, intellectuel, physique et socioaffectif. Cliquez ici pour connaître la différence de l’école catholique!
Chef de file reconnu pour la transformation de l’expérience d’apprentissage, l'excellence, la bienveillance de ses écoles catholiques et sa synergie avec la communauté, le Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE), avec plus de 28 000 élèves fréquentant 45 écoles élémentaires, 13 écoles secondaires et une école pour adultes, est le plus grand réseau canadien d'écoles de langue française à l'extérieur du Québec.
Engager chaque élève à apprendre, à poursuivre ses rêves et à bâtir un monde meilleur.
Chef de file reconnu pour la transformation de l'expérience d'apprentissage, l'excellence et la bienveillance de ses écoles catholiques et la synergie avec la communauté.
Nous croyons que chaque élève peut réussir si nous lui donnons le temps et l'appui nécessaires.
Nous sommes résolus à faire tout ce qu'il faut pour fournir à chaque élève l'encadrement et l'accompagnement nécessaires à sa réussite. L'encadrement, un vécu de tous les jours. L'accompagnement, pour que chaque talent et aptitude se réalisent.
La vitalité et le dynamisme d’un peuple passent par une éducation de qualité, respectueuse de ses valeurs profondes. L’accès à l’éducation en langue française est le résultat de victoires récoltées à force de courage, de volonté et de détermination. Le parcours n’a pas toujours été facile.
En 1912, le gouvernement adopte le règlement 17 qui interdit tout enseignement en français après la 2e année. La révolte gronde et on s’organise. C’est avec fierté et le sourire aux lèvres qu’on se remémore l’année 1916, alors qu’à l’École Guigues, nos mères, armées de leurs épingles à chapeau, font reculer les inspecteurs venus faire respecter le règlement. Dix ans plus tard, on crie victoire! L’enseignement en français est de nouveau autorisé. Petit à petit, on assiste au développement d’un réseau d’écoles élémentaires catholiques de langue française. Il faudra attendre jusqu’en 1979 pour qu’ait lieu l’inauguration de la première école secondaire catholique, le Collège catholique Samuel-Genest.
De nombreuses mesures législatives viennent accélérer la croissance du système d’éducation en langue française en Ontario. En 1988, la Loi 109 permet la création du Conseil scolaire de langue française d’Ottawa-Carleton qui comporte une section catholique et une publique. Un moment qui passe à l’histoire! Du coup, les écoles de langue française sont gérées par et pour des francophones. En 1997, le gouvernement adopte la Loi 204 qui est associée à la refonte structurelle du système des conseils scolaires en Ontario. L’année suivante, le ministère de l’Éducation crée 72 conseils scolaires en remplacement des 167 existants. Le nombre de conseils anglophones diminue de façon substantielle alors qu’au contraire, le nombre de conseils francophones augmente à la grande joie de ses sympathisants. En effet, parmi ces nouveaux conseils, douze sont de langue française. Le Conseil des écoles catholiques du Centre-Est est né! Il se met dès lors à l’oeuvre avec enthousiasme pour offrir aux francophones de son vaste territoire une éducation de qualité bien ancrée dans la catholicité et la modernité.
En 1998, le tout nouveau Conseil des écoles catholiques du Centre-Est regroupe les francophones catholiques du Centre-Est de l’Ontario. Le territoire et la clientèle sont vastes : 33 042 km2, 57 écoles, 16 000 élèves. Tout est à faire! Il faut d’abord mettre en place une structure organisationnelle efficace qui permettra de fournir aux élèves des installations et des services de qualité. On procède donc par étapes. En tout premier lieu, on opte pour un modèle de gouvernance au sein duquel les rôles des membres élus du Conseil et des administrateurs sont clairement définis. Les premiers ont la responsabilité de déterminer la mission, la vision et les grandes orientations tandis que les seconds les mettent en oeuvre. Dès le début, le Conseil établit ses priorités afin de s’accorder efficacement à la mission qu’il s’est donné, soit fournir une éducation en langue française de haute qualité basée sur des valeurs chrétiennes solides. En 1999, il devient le premier conseil scolaire de langue française à se doter d’un cadre d’imputabilité. L’administration doit ainsi rendre compte des résultats de ses actions devant les élus du Conseil. Encore aujourd’hui, cette façon de procéder est considérée comme très innovatrice. Simultanément, le nouveau mode de financement public amène le Conseil, après une vaste consultation auprès de sa clientèle, à repenser les programmes et services offerts dans les écoles ainsi que l’emplacement de celles-ci. Il ferme certes quelques écoles, mais en construit de nouvelles afin de mieux répondre aux besoins changeants des communautés scolaires.
Le mode de gouvernance au CECCE est une approche axée sur les résultats et l’imputabilité, où les rôles et responsabilités entre les ÉLUS et la GESTION sont bien précisés.
C’est une approche axée sur les résultats et l’imputabilité, où les rôles et les responsabilités entre les élus et la gestion sont précisés comme suit :
Les élus (axés sur les résultats – ou « le quoi ») maintiennent les liens avec les contribuables/parents élaborent des attentes de résultat face à la gestion évaluent la performance en comparant les résultats obtenus par rapport à ceux fixés
La gestion (axée sur les moyens – ou le comment) met en œuvre les moyens nécessaires pour réaliser les résultats visés rend compte des résultats obtenus (imputabilité, rapports de monitoring) agit à l’intérieur des limites prescrites par les élus.
Établir et maintenir des liens avec les « propriétaires » du Conseil scolaire. Voici les grandes lignes :
Environ 80 000 contribuables francophones catholiques, dont plus de 25 000 sont des parents
Assurer une saine gouvernance de l’organisation
Établir les grandes orientations (ex. budget, résultats)
Élaborer des politiques et les maintenir à jour
Évaluer de manière continue la performance de l’organisation
Assurer la liaison et faire connaître les besoins auprès des instances gouvernementales (fédéral, provincial, municipal) et diverses associations.
Chaque élève, enrichi et animé par son identité catholique et francophone, cheminera vers le développement de son plein potentiel, en devenant :
Un penseur critique et créatif
Capable de pensée critique et de discernement devant un problème complexe et réel
Capable de créativité, d’innovation et d’entrepreneuriat
Ayant une maîtrise de la littératie numérique et des compétences informationnelles
Ayant réussi son parcours scolaire
Un jeune adulte affirmé et épanoui
Ayant développé son caractère
Capable de communiquer efficacement
Sachant collaborer constructivement
Un citoyen engagé et éthique
Ayant une vision et un comportement écoresponsables
Faisant preuve de leadership dans les affaires civiques
Animé par un idéal de justice sociale et d’équité
Par un programme d’indicateurs de performance qui comprend :
Tests de l’Office de la qualité et de la responsabilité en éducation / OQRE (3e, 6e, 9e et 10e)
Nombre de crédits accumulés à chaque année, de la 9e à la 12e année
Taux de diplômation
Recrutement et rétention des élèves
Sondage biannuel des parents
Sondage biannuel des parents ayant un enfant en difficulté
Sondage biannuel des élèves (4e à 12e)
Et plusieurs autres indicateurs.
Les résultats sont présentés et discutés aux réunions publiques du Conseil, selon un calendrier préétabli.
La direction de l’éducation publie en décembre un rapport annuel qui contient un résumé des résultats obtenus pour l’année précédente (voir site web).
Chaque école publie aussi annuellement sur son site web un profil de ses résultats (ex. lecture, écriture, math, satisfaction des parents).
Les meilleurs résultats de la province aux tests de l’OQRE en 3e et 6e années
Un taux de diplômation supérieur à 95%
Une croissance soutenue des effectifs
Un haut taux de satisfaction des parents (supérieur à 90%)
Une reconnaissance comme chef de file en éducation au Canada.
Communiquer avec la conseillère ou le conseiller scolaire du secteur
L’administration assurera le suivi, au besoin.
Faire une présentation lors de la période d’audition des contribuables aux réunions publiques du Conseil
Doit être demandée à l’avance
Participer aux consultations ponctuelles initiées par le Conseil (ex. orientations budgétaires, changements de secteur de fréquentation, etc.)
Participer au Comité sur la participation des parents
Inviter les conseillères et conseillers scolaires du secteur aux rencontres du conseil d’école